L'astrophysicien britannique Stephen Hawking était le père de la singularité gravitationnelle. Histoire d'une légende.

Pionnier de la physique quantique puis de l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire, concepteur de projets excentriques, le physicien anglo-américain est aussi un littéraire, convaincu qu’il y a d’autres sources de savoir humain que la science.

Exit le cylindre de platine qui, au coeur de Paris, sert d'étalon au kilogramme depuis la fin du XVIIIe siècle : le 19 novembre 2018, l'unité de la masse sera définie par l'un des piliers de la physique quantique : la constante de Planck. Et il n'y a pas que le kilo : ce jour-là, toutes les unités de mesure - seconde, mètre, kelvin ... - vont elles aussi devenir "fondamentales". Car tel est l'enjeu de cette révolution dans les poids et mesures : les rendre universels et utilisables par tous en tout point du globe.

C'est un exploit : des chercheurs sont parvenus à faire entrer une bactérie dans un état quantique, alors que cette physique est a priori réservée à la matière inerte et microscopique. Autant dire que le chat de Schrodinger devient possible ! Le récit de Jean-Baptiste Veyrieras.

Ces chercheuses pourraient bien remettre la France et l'Europe en tête de la révolution quantique.

Le physicien italien de 65 ans, reconnu comme un des pères de la théorie de la gravité quantique à boucles, est un de ces rares savants qui sait parler au grand public. Venu à la physique théorique après des expériences psychédéliques sous LSD, il partage dans ses livres son émerveillement face à l'univers. Son prochain livre, "Helgoland", va paraître chez Flammarion le 6 octobre 2021.

Einstein, Heisenberg, Schrödinger, Planck, Bohr... au début du XXe siècle, les physiciens les plus illustres décryptent le fonctionnement de la matière à sa plus petite échelle : celle des atomes et des particules. La physique quantique est née. Cette science a radicalement changé le monde dans lequel nous vivons... et s'apprête à bouleverser celui qui nous attend.

Il y a cent ans, l’Institut de physique théorique était inauguré à Copenhague. Rebaptisé Institut Niels Bohr en 1965, peu après la mort du célèbre physicien éponyme, il a vu passer d’autres grands noms de la science et continue de faire avancer l’informatique quantique. Visite guidée par son directeur.

Cette Américaine a deux passions qu’elle pratique à un niveau professionnel : la danse de ballet et la physique. Elle entend aujourd’hui les faire dialoguer, notamment dans de petits duos avec un bras robotique.