Ce portrait du grand imprimeur et libraire vénitien (1450?-1515), qui révolutionna l'imprimerie avec des fontes telles que les caractères italiques, est l'occasion d'évoquer l'effervescence intellectuelle de la Venise d'alors ainsi que les débuts d'une technique d'abord contestée.

Recueil qui rassemble des épisodes de l'aventure vénitienne de l'auteur, traduisant un regard fin de siècle et narcissique sur la cité des Doges, que le poète nationaliste découvrit en 1892.

Ce guide propose de retrouver la Venise du XVIIIe siècle à travers les tableaux de l'époque, signés entre autres artistes de Canaletto, et une douzaine de circuits dans la Sérénissime contemporaine. Reproductions des peintures et photographies permettent de comparer.

Dépassant le cadre de l'histoire de l'art, l'auteure analyse les éléments et les influences qui se sont conjugués à la Renaissance pour donner à Venise son visage incomparable.

Les 12 incontournables à ne pas louper et le meilleur des expériences restos, shopping et sorties. Un plan de la ville, une carte détaillée de chaque quartier et un plan des transports. " Première fois " ou thématiques, des idées de séjour détaillées pour profiter de la ville du matin au soir et jusque tard dans la nuit. Les interviews de figures de la ville avec leurs tuyaux et leurs adresses préférées. Plus de 250 adresses authentiques ou " tendance " sélectionnées et testées par un auteur du cru : hôtel design ou location d'appartement, boutique de créateur ou friperie, resto gastro ou bistro sans chichi, bar classieux ou club alternatif... Un ton incisif et synthétique pour saisir l'esprit de la ville en un clin d'oeil.

Il s'agit de la conversion éclairée , qui fait qu'on passe de la rhétorique à l'antirhétorique. C'est l'immense intérêt de la campagne photographique à l'origine de cet ouvrage que de nous restituer et nous faire mesurer dans tous ses détails la mue considérable qu'a connu alors la Sérénissime. Qu'il s'agisse des extérieurs ou des intérieurs de la ville, Venise à cette époque a rejeté le masque du mythe, pour arborer ses véritables traits humains . C'est un siècle qui fixe le visage de la ville par le biais du pinceau de Canaletto et qui, dans les toiles de Pietro Longhi et les comédies de Carlo Goldoni, surprend la noblesse, ainsi que la bourgeoisie et le peuple, dans leurs attitudes quotidiennes. Pour autant, ce n'est pas une époque uniforme : si d'une part elle se perd dans les cieux infinis de Tiepolo, d'autre part elle s'attarde sur les décolletés des religieuses immortalisées par Francesco Guardi.-