Aller au contenu principal

Weerasethakul, Apichatpong (1970-....)

Article

Auteurs
Des nouvelles d'Apichatpong Weerasethakul : son insomnie, ses films.
Numéros de page :
pp.92-95

Article

Auteurs
Onze ans après sa Palme d'or pour le très métaphysique "Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures", c'est en Colombie que le cinéaste thaïlandais est allé poser sa caméra. Avec "Memoria'', en compétition à Cannes, le réalisateur et plasticien livre une nouvelle méditation sur le temps, dans les mêmes forêts hypnotiques qui hantent son oeuvre.
Numéros de page :
pp.64-69

Article

Bulletin : Transfuge 152
Avec le sublime "Memoria", Apichatpong Weerasethakul persiste à offrir ce que les séries télévisées ne proposent jamais, et le cinéma de moins en moins : un art sensoriel, métaphysique, chamanique, qui s'adresse aux zones les plus profondes de nos âmes et de notre psyché.
Numéros de page :
pp.60-65

Article

Auteurs
Quels sont les films préférés de tel ou tel cinéaste ? La plateforme de streaming La Cinetek a proposé à plusieurs auteur-trices d'en faire la liste. Ce mois-ci, plongée dans la persona cinéphile d'Apichatpong Weerasethakul.
Numéros de page :
pp.36-37

Article

Date parution pério
2021-11-01
Six ans ont passé depuis le précédent film d'Apichatpong Weerasethakul ("Cemetery of Splendor"). Nous avions régulièrement de ses nouvelles à travers les quelques installations et expositions qu'il a pu faire depuis, dont "Periphery of the Night", visible jusqu'au 28 novembre à l'Institut d'art contemporain de Villeurbanne ("Cahiers" n° 779).
Numéros de page :
pp.6-10, 12-14, 16, 18-20

Article

Auteurs
Date parution pério
2024-11-01
"Des lumières et des ombres", l'événement que le Centre Pompidou consacre à Apichatpong Weerasethakul, donne la mesure de la variété des formes de son oeuvre : une rétrospective intégrale de ses longs et courts métrages, une exposition dans l'atelier du sculpteur Brancusi plongé dans une nuit artificielle trouée de lumineuses installations, et une performance en réalité virtuelle emmenant ses spectateurs-somnambules dans une caverne cosmique. Il aspire désormais à retrouver l'innocence et l'émotion primitive des formes simples et directes.
Numéros de page :
pp.78-82