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Pierre Teilhard de Chardin

ou le propre de l'homme dans son rapport au propre de Dieu
Numéros de page :
/ p. 192-205
Le plus étonnant du propre de l'homme n'est-il pas qu'il puisse s'ouvrir au propre même de Dieu, et que, au surplus, la nature tout entière, notre irremplaçable berceau, ne prenne pour nous, par dénit mortifère du mystère de Dieu, les allures du tombeau ?
Note Générale :