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Annette plus ultra

Numéros de page :
4 p. / p. 48-51
Elle a gardé le nom de son premier mari, Gary, a été la muse de Paul Bley, a joué avec Albert Ayler, détourné les premiers synthétiseurs de leur droit chemin, fait flasher David Bowie et cultive farouchement son indépendance depuis des lustres. A l'occasion de la réédition de son légendaire ″I'm The One″ de 1972, rencontre avec Annette Peakock.