Tunisie. L'homme qui a dit non
Bulletin : Jeune Afrique 2612 - janvier 2011
Numéros de page :
10 p. / p. 44-53
Après avoir refusé de tirer sur les civils, précipitant la chute de Ben Ali, le chef d'état-major des armées, Rachid Ammar, s'est porté publiquement garant de la révolution. Portrait d'un militaire aussi humble que déterminé, élevé par le destin au rang de ″héros national″.