Abdesselam Aboudrar
Bulletin : Jeune Afrique 2688 - juillet 2012
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Numéros de page :
3 p. / p. 47-49
A la tête d'un organe sans pouvoirs, ou presque, sous le gouvernement d'Abbas El Fassi, le président de l'Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) a-t-il une plus grande marge de manoeuvre depuis le 20 février 2012 et la révision constitutionnelle ? L'arrivée d'une nouvelle majorité a-t-elle changé la donne ? Entretien.