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A un doigt du bonheur

Numéros de page :
6 p. / p. 44-49
Avec trois films coup sur coup, 2009 a un peu été l'année Yvan Attal. Dans Rapt, Lucas Belvaux lui donne son plus beau rôle, celui d'un grand patron souffrant et aux abois. Conversation autour de son travail, sa femme, le judaïsme et Steven Spielberg.
Note Générale : Voir aussi article p.42 intitulé Il ne faut pas oublier l'homme derrière sa fonction sociale.