Eclairage, en mars 2012, sur la faible représentativité des fonds ISR (investissement socialement responsable) qui détiennent moins de 2% des encours financiers dans le monde. En cause : le faible intérêt des particuliers pour ces fonds (alors qu'ils étaient la première cible de ces produits) et leur difficulté à convaincre en termes de performance. Toutefois, leur influence dépasse leur poids économique. Ils investissent le champ de l'actionnariat actif pour peser sur les comportements des sociétés cotées et mènent des actions collectives pour une meilleure transparence sur les sujets de gouvernance, d'environnement et de conditions sociales.