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Tout ce que le ciel permet

Numéros de page :
4 p. / p. 64-67
Comme d'habitude, James Gray est reparti bredouille de Cannes. Pourtant, « The Immigrant », son cinquième long métrage, dégraisse le film en costumes pour se concentrer sur l'essentiel : les rapports de domination entre les individus, l'une des obsessions du cinéaste.