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Faire palabrer nos imaginaires

Numéros de page :
2 p. / p. 66-67
Alors que le Sénégal inaugure cette semaine le Festival mondial des arts nègres, l'écrivain Boubacart Boris Diop s'interroge. Cinquante ans après les indépendances, que reste-t-il des espoirs africains portés par les intellectuels de l'époque ? La force créatrice, répond l'essayiste.
Note Générale :