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Geôle et Enjôlement

01 février 2014
Numéros de page :
2 p. / p. 56-57
On évoque souvent le fameux syndrome de Stockholm : l'empathie du séquestré pour son ravisseur. Pourtant, de tous les otages libérés ces dernières années, aucun ne semble l'avoir vraiment éprouvé. Cet attachement de la victime à son bourreau relève-t-il du mythe ou de la réalité ? Les spécialistes peinent à trancher et analysent ce phénomène au cas par cas.
Note Générale :