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Le Corps "propre", symptôme d'une usure du "corps social" ?

Numéros de page :
6 p. / p. 30-35
A observer la manière dont les représentations collectives structurent le vécu et les affects des personnes, ne pourrait-on pas considérer que certains symptômes liés à l'imaginaire des corps, comme l'anorexie, l'obsession de la propreté ou encore le culte de la performance, se font l'expression d'une crise du « corps » social ? Travailler sur ces représentations sociales permettrait ainsi d'envisager une autre manière de construire son rapport au corps et de le rendre de nouveau habitable. Approche philosophique.