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Lettres d'exil

Numéros de page :
8 p. / p. 46-53
Comme des centaines de milliers de personnes aujourd'hui, certains ont fui leur pays contraints et forcés : Mohamed Attar a dû quitter la Syrie ; Ngugi wa Thiong'o, le Kenya, Ramin Jahanbegloo, l'Iran. Le Tibétain Tenzin Nyingjey, lui, est un exilé sans pays. D'autres ont choisi de partir et sont revenus, comme Santiago Gamboa, en Colombie. Ecrivains, philosophes, tous racontent un déracinement sans fin, une souffrance, comme une mutilation, une quête d'identité perpétuelle. En écho à leurs récits, d'autres écrivains, éditorialistes, Fatima Bhutto et Michael Rosen dans la revue "Granta", ou encore l'Algérien Abdou Semmar, prennent à leur tour la plume pour évoquer l'exil. Voici leurs textes, parus récemment dans la presse étrangère. Sommaire. Un jour, le vent nous ramènera à Damas. L'exil selon Rafik Schami. L'exil selon Dinaw Mengestu. Une valise dans la tête. L'exil selon Pablo Medina. Un sentiment de mutilation. Comment peut-on être canadien ?. L'exil selon Roberto Bolano. Ni chèvre ni mouton. L'exil selon Guo Xiaolu. La Syrie était ma maison. L'exil selon Michael Rosen. Pardonne-nous, Simonne.