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Diva gaie

Numéros de page :
3 p. / p. 74-76
Comme Jean Cocteau, à qui elle consacre son film « Opium », Arielle Dombasle cherche en permanence à se réinventer. Malgré une présence multiple, la diva s'avère aussi évanescente qu'une voix.
Note Générale :