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Le |Soutif. Un haut qui fait débat

Numéros de page :
pp.48-49
Tous les matins, vous l'enfilez, l'agrafez machinalement. Il maintient vos nichons en place, vous vous dites. Au fond, il n'y a que quand, le soir venu, vous vous en débarrassez dans un grognement de soulagement, que vous mesurez la présence de ce bout de chiffon. Qu'est-ce qui a poussé nos aïeules à se flanquer d'un soutif et, surtout, avons-nous raison de faire comme elles ?