La "Tante" bien-aimée de Thomas Bernhard
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8 p. / p. 45-52
Quand on ouvre un de ses livres, Bernhard voudrait qu'on s'imagine être dans un théâtre. Le rideau s'ouvre à la première page, le titre apparaît, les mots affluent et la lecture commence sans que l'on ne puisse s'arrêter avant d'avoir atteint la fin.