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Beau, brut et truand

19 avril 2014
Numéros de page :
3 p. / p. 110-112
De son propre aveu, Niels Arestrup doit ses plus beaux rôles à des rencontres. Celles de Peter Brook, au théâtre, où il mène depuis trente ans une carrière exigeante. Celle de Jaques Audiard au cinéma, qui, avec "Un Prophète" en 2009, lui a offert la consécration. Celle de Frédéric Schoendoerffer aujourd'hui, pour qui il se mue, dans "96 Heures" en truand déterminé.