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Les Maudites s'émancipent

05 juillet 2014
Numéros de page :
3 p. / p. 42-44
Elles étaient considérées comme le diable, bannie de la société. Elles gagnent aujourd'hui parfois plus qu'un médecin. Ces potières et tisseuses, accusées d'avoir le mauvais oeil en Ethiopie, doivent leur nouvelle situation à l'atelier Muya, cofondé par un Français. Et se rêvent déjà au bras d'un mari diplômé, avec "deux-trois enfants, pas plus...".