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"Je déteste les gens qui courent après le bien-être."

Auteurs
Numéros de page :
8 p. / p. 68-75
Quarante ans après "Belle de jour", de Luis Bunuel, Michel Piccoli prolonge l'aventure avec "Belle toujours" de Manoel de Oliviera, et prouve ici qu'il n'a rien perdu de son goût du risque ni de sa verve anarchiste.