Le marché français de l'archivage est en bonne santé, selon une étude SerdaLab. En dix ans, il a progressé de manière ininterrompue, en passant de 652 millions d'euros en 2006 à près de 1,1 milliard en 2014. Et il pourrait atteindre 1,2 mds EUR d'ici à 2018. Un chiffre qui recouvre toutes les activités liées à l'archivage : les prestations d'archivage physique ou électronique, la production de logiciels de gestion d'archives et de records management, la destruction de documents, les fournitures pour la conservation, le mobilier et le matériel d'archives... Le segment du mobilier et du matériel d'archives est celui qui génère les recettes les plus importantes avec 392,6 M EUR en 2014, suivi de la prestation d'archivage électronique qui a représenté un CA de 349,7 M EUR en 2014. L'archivage physique résiste toujours, malgré la révolution numérique. Détails et données chiffrées.