Matt Dillon
Bulletin : Première 489
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Numéros de page :
pp.92-95
La plus belle gueule des années 80, c'était lui. Le super psychopathe de Lars von Trier dans "The House that Jack Built", c'est encore lui. Pour passer du kid poupin rock'n'roll au maboul taillé à la serpe en quelque trente ans, il fallait des étapes, une carrière, une filmo. Matt Dillon la commente pour "Première".