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Ma sorcière bien-aimée

Numéros de page :
pp.104-108
Depuis les Hell's Angels, "Rosemary's Baby" et AC/DC, le marketing du satanisme cartonne à plein tube, notamment auprès des ados fragiles en quête d'identité revêche. Ne manquait qu'une égérie structurée pour animer ce marché et incarner le combat néoféministe du moment : la sorcière ! Cette dernière coche toutes les cases de la bien-pensance 3.0.