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Nice, "safe city" ou cauchemar orwellien

Numéros de page :
pp.32-34
Dans la baie des Anges, on ne craignait déjà pas d'être filmé par plus de 2 300 caméras de vidéosurveillance. Désormais, sous l'impulsion de son maire Christian Estrosi, et aidée par la technologie, la ville va plus loin. Au menu : reconnaissance faciale et détection des émotions des usagers du tramway. Reportage.