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Bal tragique à l'ambassade d'Autriche

Numéros de page :
6 p. / p. 44-49
Ce devait être une nuit de lumières et d'éclats en l'honneur de Napoléon 1er et de Marie-Louise. Ce fut une soirée de cendres et de larmes. L'incendie dévastateur, longtemps minimisé - on évoque pourtant près d'une centaine de morts -, révèle l'incurie des gardes pompiers et annonce une réforme d'envergure de la profession, dont on risque encore d'entendre parler cet été.