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couverture du document

Emiliano Gonzalez Toro

Numéros de page :
pp.22-23
Depuis dix ans, aucun amoureux du baroque ne pouvait ignorer ce ténor montéverdien, compagnon des meilleurs ensembles. On attendait moins le chef, révélé dernièrement par un "Orfeo" de rêve au Théâtre des Champs-Élysées, ainsi que par un Diapason d'or décerné aux "Vêpres" de Cozzolani. Une rencontre s'imposait.