Aller au contenu principal

″Don Juan" de Strauss

Numéros de page :
4 p. / p. 42-45
Puisque "la forme sonate (a) été développée jusqu'à ses dernières limites avec Beethoven (...), les nouvelles idées doivent se chercher dans de nouvelles formes", explique Richard Strauss après avoir pris conscience, au milieu des années 1880, des horizons ouverts par la "nouvelle école allemande" dont Wagner est le gourou et l'abbé Liszt le prophète. Autrement dit, la symphonie "traditionnelle" est morte, vive la musique à programme !