C'est une découverte historique ! En réussissant à transférer un souvenir d'un être vivant à un autre, un neurobiologiste américain a démontré que la mémoire, loin de siéger partout et nulle part dans notre cerveau, s'invarne dans des molécules nichées dans le noyau de nos neurones. De minuscules substrats épigénétiques que l'on peut très bien isoler et injecter, ce qui ouvre des perspectives fantastiques. Car ces molécules de la mémoire portent en elles la promesse de traiter l'Alzheimer, de doper notre mémoire, voire d'apprendre une langue étrangère.... Sommaire. On a découvert les molécules des souvenirs. Les souvenirs peuvent être injectés ! Les molécules de la mémoire se cachent dans l'ADN neuronal. Le dogme de la mémoire en réseau a vécu : place à la mémoire épigénétique. Mémoire épigénétique : l'incroyable panacée ?