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Pourquoi la nature morte est toujours vivante et obscène

Numéros de page :
pp.90-99
Dans un essai à paraître, l'historienne de l'art Laurence Bertrand Dorléac veut "en finir avec la nature morte", autrement dit la reconsidérer à l'aune de l'archéologie et de l'art contemporain, des oeuvres extra-européennes et de la littérature, mais aussi de nos pulsions et de tous nos paradoxes. "Beaux Arts" en a profité pour apporter son grain de sel.