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4 films-dispositifs qui nous regardent

Auteurs
Numéros de page :
pp.66-69
A partir de 4 films emblématiques, Thierry Ruffel livre une réflexion sur le cinéma et sa propre mise en abîme. Des oeuvres qui ont su créer un spectateur de cinéma, se voyant, comme les personnages du film, assis, mais avec le pouvoir de sauter dans l'espace ou le temps, et attentif à chaque coupe qui le lui permet, à chaque trou dans le récit. Pour amorcer cette analyse, les 4 points de référence sont "Fenêtre sur cour" (Hitchcock, 1954), "Le Dossier 51" (Deville, 1978), "71 Fragments d'une chronologie du hasard" (Haneke, 1994) et "Ten" (Kiarostami, 2002).