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Ma soeur, ma semblable

Numéros de page :
2 p. / p. 85-86
Miss, Madame ou Oyu-sama, il s'agit d'un chef d'oeuvre, et c'est bien là la seule chose qui importe. Cette sortie en salle s'accompagne de celle d'un autre chef d'oeuvre, plus connu, l'également sublime "Vie d'O'Haru, femme galante". Ce deuxième film nous servira surtout de point de comparaison pour aborder le plus rare "Oyu", preuve de l'immensité du génie de Mizoguchi, capable de chanter la tragédie tàire femme dans le déploiement quasi épique d'"O'Haru" tour comme dans le minimalisme quasiracinien d'"Oyu".