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Roberto Benigni

Numéros de page :
/ p. 31-38
Après le dessin épais du Monstre, Roberto Benigni affine son trait avec la Vie est belle, une fable humaine et généreuse. Souvent intéressé par les personnages à multiples facettes (on se souvient de l'ingénu démoniaque du Petit Diable ou de son double rôle de gangster et de candide dans Johnny Stecchino), Benigni signe, avec ce dernier opus, une oeuvre à double visage...