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Julien Gracq et le souci du latin

Numéros de page :
12 p. / p. 78-89
Méfiant des héritages littéraires, admirateur des surréalistes, insensible aux ruines de Rome, Julien Gracq ne peut guère passer pour un nostalgique des langues anciennes. La langue latine est pourtant présente à travers son oeuvre, toujours liée à sa réflexion sur la langue française, aux potentialités de son expression, à sa rigueur et à sa créativité. En quoi cet attachement dépasse-t-il la singularité du lecteur et du styliste Gracq ?