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Astor Piazzolla, le tango en majesté

Numéros de page :
pp.26-29
Il aimait Bach et le jazz, se rêvait Bartok ou Stravinsky avant de comprendre que son destin était à la fois plus modeste et plus fou : créer un « nouveau tango » affranchi des salles de bal sans couper la musique de Buenos Aires de ses racines profondes. Cent ans après la naissance du bandonéoniste et compositeur argentin disparu en 1992, son oeuvre rayonne encore au disque comme en concert.