Aller au contenu principal

Edith Farnadi, Hongroise jusqu'au bout des doigts

Bulletin : Classica 239
Numéros de page :
pp.22-23
Budapest, Liszt et Bartok, à jamais : au contraire d'Annie Fischer, sa condisciple, la musicienne magyare avait persévéré dans son arbre généalogique. Une existence trop courte et des disques oubliés font d'elle l'inconnue bien-aimée du piano hongrois.