Sylvie Fainzang
"Le patient est habitué à ce qu'on lui mente"
Bulletin : Sciences et avenir 718 - décembre 2006
Auteurs
Numéros de page :
1 p. / p. 106
Le praticien "ment pour le bien du malade", lequel peut mentir par peur du médecin... Une relation empreinte de dissimulation au point de détruire toute confiance.
Note Générale :