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Martin Winckler, médecin et écrivain

Numéros de page :
4 p. / p. 48-51
En France, l'état d'esprit veut que le médecin demeure supérieur au patient, quand il n'utilise pas son statut pour asseoir un pouvoir. Le chroniqueur exerce ici un oeil critique sur une profession déterminée, selon lui, par une formation inadaptée et féodale.