Sale temps pour les pauvres. Victimes collatérales de la une trop longue période de chômage. Leur sanction? Devenir mobilisation générale pour le plein-emploi, ils sont dans le encore plus pauvre. Pour les obliger à reprendre un boulot, on collimateur du gouvernement. Et tous ceux qui sortent du n'a rien trouvé de mieux à faire que d'accentuer leurs difficultés, rang sont sévèrement réprimandés. Leur faute? Ne pas accepter en réduisant leurs allocations, voire en les supprimant. La liste le premier emploi mal payé et éreintant qui se présente, ne pas des vexations et autres stigmatisations qu'ils doivent subir est réussir à faire garder ses enfants ou ne pas avoir assez d'argent longue. Il pourrait en être autrement: supprimer la pauvreté n'a pour faire le plein. Sans oublier ceux dont la santé est défaillante, rien d'utopique. Mais le gouvernement ne l'entend pas de cette ou encore ceux qui ont été désocialisés et marqués à vif par oreille, car pour lui, hors du travail, point de salut ! Sommaire. L'inflation, une bombe sociale à retardement. Haro sur les pauvres. Combien ça coûterait de vraiment lutter contre la pauvreté ? "On est dans une logique de sélection des pauvres méritants" (Guillaume Allègre, Economiste). Données chiffrées. Document de fond. Graphiques.