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Les Grandes écoles en mal de diversité sociale

Numéros de page :
3 p. / p. 48-50
Si l'Université française reste quasi-gratuite, il n'en va pas de même dans la plupart des grandes écoles ni dans l'enseignement supérieur privé où les prix flambent... parfois avec les meilleures intentions. Pour intégrer davantage de jeunes de milieu défavorisé, Sciences-Po-Paris envisage en effet une augmentation des droits d'inscription pour les plus aisées de ses étudiants. Parallèlement, le privé fleurit dans des filières très attractives auprès des jeunes, comme "l'info-com", sans leur garantir toujours un diplôme homologué.