Au fil des pages, tout est passé en revu : le programme sculpté du portail, du bras sud du transept et de la tour-clocher ; les stalles et le choeur liturgique, comme l'essai de reconstitution dans leur état de 1576 ; les vitraux, et la rencontre entre les maîtres verriers des XIIe et XXe siècles dont les compositions éblouissantes révèlent de bien tristes histoires de la Grande guerre ; les décors peints dont la polychromie originale s'est beaucoup perdue ; l'héraldique ou la présence en blasons de toutes les personnalités qui ont voulu marquer leur présence dans ces glorieuses pierres ; le mobilier de la cathédrale et le trésor ; jusqu'à l'horloge astronomique de Saint-Julien, un ouvrage très étonnant, dressée sous la forme d'une tour pentagonale de sept mètres de haut avec ses trois cadrans (un pour les heures, un liturgique pour les saints et les fêtes, et un lunaire).