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"Je suis la vie qui ne souffre pas le vide"

16 mars 2012
Numéros de page :
2 p. / p. 14-15
C'est connaître peu de choses que de refuser d'être épris des jours et de leur richesse, le bonheur se dérobât-il. Marina Tsvetaeva a tenté, éprouvé, subi, et elle a tout submergé de son moi. La poésie, la Russie étaient ses absolus. Elle les garda jusqu'au bout, voulant les sceller ensemble par sa mort.