Particulièrement bienvenue est la réédition, dans la traduction de Georges-Arthur Goldschmidt, de cette oeuvre de Benjamin, publiée en son temps par P.O.L en 1979, et devenue introuvable. C'est, en effet, peut-être le plus accessible des ouvrages de Benjamin, c'est aussi un de ceux qui mènent avec élégance au plus près de cette oeuvre parfois hermétique, au véritable foyer de sa pensée.