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Darrieussecq à Hollywood

01 septembre 2013
Numéros de page :
1 p. / p. 7
Double écueil : le dernier roman de Marie Darrieussecq commence à la fois comme un film (un blockbuster américain) et comme un roman de Marguerite Duras. Le titre, ″Il faut beaucoup aimer les hommes″, est emprunté à Duras (″La Vie matérielle″). Le chapitrage du livre mime exactement celui d'un film, du ″générique″ initial au ″bonus″ final après ″The End″ (on voit que la romancière nous offre directement la version DVD). Bonne idée ? Il n'est pas sûr que ces deux références, littéraire et cinématographique, s'enrichissent l'une l'autre.