Près de 40% des transactions financières sont passées, non par des humains, mais par des machines. Des ordinateurs capables d'atteindre une vitesse sans rapport avec celle de l'information sur l'économie réelle. L'objectif ? Garantir la "liquidité", selon le lobby bancaire. Selon l'économiste Gaël Giraud : faciliter les délits d'initié... et faire de la "pêche à la ligne".