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Du mouvement sur la page

01 novembre 2013
Numéros de page :
4 p. / p. 317-320
Nous aimons Jacques Demarcq et il nous le rend : sa poésie est généreuse - pas de lésine ! - et toujours inventive. On reconnaît sa patte au premier coup d'oeil, toute page de cet écrivain donnant à voir autant qu'à entendre. Ses livres sont aussi gros que des romans (« Les Zozios », Editions Nous, 2008, 350 pages), mais ils assemblent, par chapitre, des poèmes. Peut-être a-t-il appris cela de ceux, très différents, qu'il a subtilement traduits : E. E. Cummings, Gertrude Stein, Andrea Zanzotto. Il vient de publier « Avant-taire », une bouleversante et tonique autobiographie, aux voix, styles et points de vue changeants, ne ressemblant à rien de ce qu'on a pu lire ces dernières décennies. Entretien avec l'une des voix singulières de la poésie d'aujourd'hui.