Fils de trame et fils de chaîne
01 mai 2016
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Numéros de page :
3 p. / p. 12-14
Gigogne et seul. Anise Koltz déroule le temps comme l'espace pour augurer la ligne infinie de chaque vie reliée à celle qui la précède ou lui succède. Une parole d'Albert Camus ouvre le livre, épigraphe pour énoncer ce à quoi nul ne devrait déroger : « Je ne connais qu'un seul devoir, celui d'aimer. »