Elle a parlé à sa famille, elle a parlé à un psychologue, elle a parlé à l’hôpital, elle a parlé à la police, elle a parlé à son avocate, elle a parlé à ses amis. Mais qui a entendu Rebecca quand elle dénonçait l’inceste qu’elle a subi ? Essentiellement un groupe de parole dont les sessions, organisées par l’association En parler, lui ont donné de l’air. À tel point qu’elle en est devenue la coanimatrice. Sommaire. Rebecca : coanimatrice de l’association "En parler". Dans la Drôme, la solidarité est belle comme un camion. MeToo gay et lesbien : "Sans écoute, la parole s’essouffle". L’ethnologue qui contredit l’Ofpra. Dossier de 4 articles.