Goyahkla (« Celui qui bâille»), plus connu sous le nom de Geronimo est entré dans la légende en affrontant l’armée américaine pour défendre la liberté et les terres sacrées de son peuple. Pendant vingt-cinq ans (1861- 1886), lui et les siens ont combattu avec l’énergie du désespoir un adversaire persuadé d’accomplir une mission « civilisatrice ». Sommaire. Le tigre sauvage de l’histoire. Le territoire apache. Les guerres apaches. Guadalupe Hidalgo, le Mexique amputé. Les Indiens noyés dans l’eau de feu. San Carlos, l’enfer sur Terre. Débat : génocide, ethnocide ou dépossession génocidaire ? Seigneurs de guerre. Geronimo, l’homme aux mille visages. Apache Pass : pas un Apache ne passe ! Extraits du livre de David Roberts. Camp Grant : généalogie d’un massacre prémédité. Éclaireurs : Apaches à part. Danser pour ressusciter l’ancien monde. Sauvegarder sa langue pour défendre sa culture. Lozen, l’amazone des Chiricahuas. Apaches dans le viseur du photographe, portfolio. Mémoire : Apaches et Blancs à couteaux tirés. Hollywood dégaine le calumet de la paix. Casino : apache, impair et manque. Blueberry et l’ombre de Geronimo sur Tombstone. Postérité : drôle d’hommage au peuple de Geronimo. L’art amérindien sort de sa réserve. Moi, Veronica E. Velarde Tiller, historienne apache. Et si l’Apacheria était restée indienne.