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Les deux morts de la Wallonie sidérurgique

Editeur :
Année de parution :
1990
1 vol. (266 p.) : couv.ill. : 22 cm
Sale temps dans la banlieue «rouge» en 1984: Valfil ferme ses portes et l'affaire Mathot éclate... Le socialisme est ébranlé dans la commune qui le représente avec le plus de force et de conviction, Seraing. C'est à cette époque que Bernard Francq, docteur en sociologie (UCL), et Didier Lapeyronnie, chercheur au CNRS, décident de se pencher sur la carcasse agonisante des bastions ouvriers du monde sidérurgique. En toile de fond de leur étude récemment publiée (1), un regard cru sur ce que les auteurs décrivent comme l'impossible conciliation entre l'appartenance ouvrière et la lutte pour le socialisme, et entre le contrôle de l'industrialisation et l'affirmation wallonne. Pour les deux chercheurs, la classe ouvrière qui s'est structurée dans l'entre-deux-guerres trouve son ancrage dans une sidérurgie qui battait alors tous les records et faisait la splendeur de la Wallonie. Les sociétés ouvrières s'expriment avec une force sociale telle que les partis politiques sont «avalés»... C'était l'ère du PS soumis au syndicat et à sa figure emblématique, André Renard... in : https://www.lesoir.be/art/%252Fm%252Fedition-les-deux-morts-de-la-wallonie-siderurgique_t-19900626-Z02UKQ.html (consulté le 23042020)
Note General : Bibliogr. p. 257-262. Index