À l'Université d'Hokkaido, un chercheur a mis au point une technique astucieuse qui vient apporter une nouvelle corde à l'arc du contrôle de l'expression génique pour l'étude du développement embryonnaire.

Malgré un affaiblissement de sa capacité d'innovation scientifique, le Japon est en bonne place sur le marché mondial des biotechnologies. Ses atouts ? Une place de leader dans la médecine régénérative, des ressources considérables pour le développement de ses universités, ainsi que pour l'amorçage de start-up et la promotion de bioclusters. Explications et détails, sous la forme d'un dossier. Sommaire. Portrait du système de recherche japonais. NARO (National agriculture & Food research organisation), l'Inra japonais. Les clusters japonais, un paysage polymorphe.

Dévouée à ses patients atteints de maladies oculaires, Masayo Takahashi est une pionnière de la recherche sur les cellules souches. Avec son équipe, cette spécialiste de l’oeil a réussi, en 2014, la première greffe de cellules rétiniennes produites à partir de cellules de peau d’un malade. Son dernier défi : une greffe à partir de cellules de donneurs. Portrait.

Une étude bouscule le dogme de la transmission verticale des gènes chez les plantes. Des biologistes ont découvert chez Alloteropsis semialata, une graminée vivace largement répandue en Afrique, en Asie et en Australie, qu’une cinquantaine de gènes proviennent d’un transfert horizontal.